ÉDITION

IBACOM et l’ÉDITION

IBAcom propose un accompagnement personnalisé pour produire votre livre, du simple projet à la réalisation, en passant par toutes les étapes nécessaires.

Concevoir – Éditer – Produire

IBAcom intervient dans tout ou partie des phases d’un livre, de sa conception et de son édition. Élaborer un livre est une opération complexe ; le manuscrit abouti –  contenu – n’étant qu’un livre en devenir. Ce texte, il faut le mettre en valeur selon les règles de l’art et les exigences qualitatives (1) de l’édition ; sa présentation – le contenant – revêt une importance d’autant plus grande que, de nos jours, la communication passe par le visuel.

IBAcom propose une intervention sur mesurepartielle ou totale, en fonction de l’état des lieux. Que ce soit à partir d’une idée, d’archives, d’albums ou de souvenirs, d’un premier jet ou d’un texte déjà élaboré, ou encore à partir d’un manuscrit abouti, IBAcom peut intervenir aux niveaux suivants :

Compilation, formulation
Relectures, Correction ortho-typographiques, calibrage (2)
Reformulation, rewriting
Refonte partielle ou totale (modification du plan)
Frappe et numérisation (reconnaissance de texte)
Mise en pages de l’ensemble du texte
Création de sommaire, crédits, index, tables, éléments biographiques et bibliographiques
Iconographie : tri, reproduction numérique, retouches – correction d’image, mise en pages graphique, légendes.
Obtention / vérification des droits de reproduction, droits à l’image, droits patrimoniaux
Élaboration d’une maquette de couverture (3)
Rédaction d’une 4e de couverture
Obtention d’un numéro d’ISBN, de code EAN

• Mise au format E Book (optionnel)
Impression papier : choix de format, papier, tirage, e prix de vente – devis de fabrication, façonnage, épreuves et BAT (Bon à tirer) – Fichiers prépresse et suivi d’impression

Un livre édité, c’est un grand moment !
 Un véritable accouchement, d’autant que de sa conception à sa naissance, le livre prend facilement 9 mois pour être créé de toutes pièces… Mais tout reste encore à faire pour le promouvoir. IBAcom met en œuvre des actions « sur mesure » pour communiquer, diffuser et vendre (page diffuser)

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(1) Combien de textes remarquables sont littéralement gâchés à cause de leur présentation ! Citons par exemple : mauvaise titraille, interlignage trop serré, caractères peu lisibles, fautes d’orthographe, erreurs de concordance des temps, répétitions, lourdeurs, trop de références historiques (à placer en notes pour alléger) 4e de couverture trop sommaire, etc. 

(2) Les corrections n’ont guère le vent en poupe de nos jours entre l’interdiction de la fessée et l’orthographe « faunétike » qui sévit un peu partout ! Or,  pour assurer la qualité littéraire d’un livre, la correction est indispensable : grammaire, orthographe, ponctuation, typographie et rewriting (partiel ou refonte). Corriger est un art difficile car il faut scruter le texte sans se laisser prendre par son contenu ; en effet, le cerveau, emballé par le plaisir de la lecture, a une furieuse tendance à laisser passer des fautes en les estompant  et en prenant un raccourci pour redonner du sens… Je me suis personnellement fourvoyée avec mon tout premier ouvrage d’éditeur, pensant pouvoir me passer de correction professionnelle, sous prétexte que la simple lecture d’un proche bardé de diplômes es-Lettres suffirait amplement… J’ai payé cher la leçon et dû faire une nouvelle édition de ce livre. 

Récemment, j’ai eu en mains un texte dont l’auteur m’a certifié que son texte était « validé », car un de ses amis au rang des quarante Immortels l’avait lu et apprécié… Il pensait donc pouvoir le faire éditer tel quel, en se passant de corrections jugées, selon lui, inutiles. Or, en lisant ledit manuscrit – fort bien écrit au demeurant – j’ai débusqué de belles fautes de grammaire et d’orthographe, sans compter une ponctuation tout à fait hasardeuse… Comme quoi la lecture corrective n’est pas forcément l’apanage de gens des Belles Lettres, si vert soit leur habit ! De ce fait, ne pouvant plus faire face, seule, aux relectures et corrections de nombreux manuscrits,  je collabore avec plusieurs correcteurs  (page l’équipe).

(3) Primordiales dans le process éditorial, la Première et la Quatrième de couverture sont des leviers de communication pour assurer une bonne diffusion. Dans les librairies, les clients, attirés par une bonne couverture, retournent immédiatement l’ouvrage pour en lire la 4e de couverture puis le feuillettent. Quand il y a un cahier photo ou des illustrations, cela est regardé en général de près.

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