Attention ! Voici la seconde partie d’u’un piquant « témoignaged’un Gaulois d’Europe », sous titre donnant suite au tome I : « Sept Décennies qui ont changé la gueule du monde » (parution Ibacom 2020).
Cinq ans plus tard, jacques GEORGES nous livre ici le tome 2 de son autobiographie sous la forme très libre d’un ensemble de réflexions sur le monde actuel, à la limite d’un essai rédigé de manière informelle et vivante…
Pageorges, le grand-père de l’auteur , figure cette fois en jeune marié de la Belle Époque, revêtu de son frac et tenant par la main sa jeune épouse. Il est propulsé dans la monde cybernétique du XXIe siècle, une époque avec laquelle ni lui ni son petit fils – Jacques GEORGES, auteur de cet ouvrage – ne sont en adéquation ….
Titre et sous-titre sans concession …
Tout comme pour le Tome I, le sous titre de l’ouvrage de Jacques Georges : « Témoignage piquant d’un Gaulois d’Europe – II » n’est pas anodin. L’auteur se définit comme le fils du peuple français, le vrai, l’enraciné, le paysan, celui qui vit sur son sol et travaille toute sa vie…
Ce gaulois d’Europe est à l’image du grand-père de l’auteur, style Belle Époque immergé dans un monde dont il ne reconnait plus grand-chose… « La Belle Époque est loin de la Moche époque devant nous » clame Jacques Georges.
À propos de ce livre
Tout comme dans « Sept décennies qui ont changé la gueule du monde » nous retrouvons ici ce mélange audacieux de « pessimisme civilisationnel et de bonheur personnel ». Jacques Georges apporte en tout cas un témoignage saisissant sur la fin d’un monde et l’avènement d’un autre dont on ne perçoit que les lointaines lueurs et les premiers échos.
Son préfacier, Georges FELTIN TRACOL nous dit que « Jacques GEORGES propose une vision du monde réaliste, pragmatique et tragique.. : « Une révolution conservatrice Version 3.0 ».
A PROPOS DE L’AUTEUR
un Mécontemporain ou Gaulois d’Europe mal aimé…. qui dresse un constat amer et lucide :
Je suis français et européen et je vois ce que je vois : un désastre (en cours ou à venir) dans à peu près tous les domaines de la vie publique : écologie, démographie, composition ethnique, sécurité, économie, finances, social intellectuel, moral, artistique »
Après les Trente Glorieuses « et tout ce qui va avec : paix relative, économie peu dynamique mais à haut niveau de confort, énergie accessible et bon marché, bagnole pour tous, culture à gogo, abondance de tout, surabondance d’informations et d’idées ….. »Jacques Georges dépeint les gros nuages à l’horizon de l’EUrope, la France malmenée… Quelle époque ! Le premier chapitre démarre sur cette litanie et survole historiquement la progression du mal « qui nous a mis, nous Français, Européens, Occidentaux, Blancs, dans la situation angoissante où nous sommes plongés aujourd’hui.
340 pages en 60 Questions / Réponses
Pour vous donner un aperçu de la richesse de cet ouvrage et de son plan, voici la table des matières à dérouler dans le document ci-dessous : à défaut d’en connaitre les réponses, cela pourra susciter votre curiosité en 60 questionnements….
Quelques extraits parmi les 360 pages de réponses …
(Question 5) … Négligence coupable Même si on sait aussi à droite que le pouvoir culturel est le
préalable, et même la condition, du pouvoir politique, globalement la Droite occidentale, et singulièrement la française notamment gaullienne, s’en sont peu soucié. Pompe d’abord : grande
politique, affaires nobles, apparat et flonflons, Louis XIV et de Gaulle. Instinct conservateur et bon sens ont été remisés même à droite au rayon des vieilleries inutiles. Les références historiques,
les images, les réflexes, les mentalités, les habitudes de pensée sont de gauche chez la gente communicante : intellectuels, enseignants, journalistes, chanteurs, musiciens, sportifs, idoles en tous genres sont de gauche ou ne sont pas. L’innocence de Dreyfus, la hontedes accords de Munich, la sainteté du jugement de Nuremberg, le culte de Churchill et Roosevelt, l’obsession des camps de la mort et d’Auschwitz, le Diable nazi, la fenêtre d’Overton, le mini-diable fasciste, l’antiracisme, le décolonialisme (mot rigolo), la chasse aux discriminations, l’obsession de la sexualité, le malaise identitaire, la méfiance envers la police, la culpabilité blanche et l’ethnomasochisme sont des dogmes intouchables, même avec délicatesse, et de loin. C’est la Gauche qui fixe l’ordre du jour, et le plus souvent les réponses. La Droite n’est le plus souvent qu’une gauche en retard. (…) etc.(Question 7). ….En revanche, les droits de l’homme rénovés font un tabac. L’Europe décolonise comme elle se débarrasse d’un péché. Les ex-colonisés saisissent la balle au bond et entament l’interminable litanie de la victimisation et des droits à réparation (avec féroce compétition
entre victimes). La vieille Europe est piétinée. Léopold II de Belgique devient la version contemporaine du Diable, et Charles Martel le premier nazi. Heureusement Hollywood en plein boom fait rêver les Européens dévastés, enjolive le règne de l’émotion, et en profite pour façonner les goûts, la morale, les opinions publiques. La télé, ce merveilleux succédané du télécran cher à George Orwell, relaie Hollywood et combat le mal sous toutes ses formes, nazi hier, communiste maintenant. Les années soixante et soixante-dix voient se développer le libéralisme bourgeois sociétal. De Gaulle à peine parti, la France fait passer l’avortement de crime sévèrement
réprimé à droit imprescriptible de la femme remboursé par la Sécurité sociale, et l’immigration de faveur à droit. Exemple : une atmosphère de pourchasse sainte, infinie et sans limite du Mal s’est
poursuivie depuis lors à travers le culte de la Shoah devenue quasireligion dans les années 70/80. Les héritiers de la célèbre École de Francfort, le douteux « marxisme culturel », le freudo-marxisme, la Nouvelle Gauche post-soixante-huitarde, les déconstructeurs de la French theory et la post-modernité ont longuement creusé leur trou autour du thème inusable et multi-fonctionnel de la dichotomie dominants/dominés. On retrouve toujours à gauche cette recherche perpétuelle du confort moral et l’exploitation perpétuellede la mine sans fond du ressentiment. (…) etc.(Question 31) … Le wokisme est une trouvaille géniale qui rénove le marxisme à la mode victimaire. C’est le petit dernier d’une série anglo-saxonne « droits-de-l’hommiste » incluant le politiquement correct (political correctness), la culture du bannissement (cancel culture), la victimisation héritière de la Shoah (J’ai souffert, donc j’ai des droits) et le militantisme dur (woke), avec une volonté d’intersectionnalité et un dynamisme envahissant débordant jusqu’aux sciences dures comme la physique ou les mathématiques. Un brouet de néologismes, de concepts et de slogans prétentieux et bafouilleux (blanchité, privilège blanc, fragilité blanche, hétéronormativité, hétéro-patriarcat, société cis-hétéro-normée, racisme systémique, genre assigné à la naissance,
appropriation culturelle, invisibilisation, inclusivisme, etc.) dont ne serait-ce que parler dégrade, mais comment faire d’autre à une époque où il terrorise l’intelligence, colonise la tête du poisson, attribue les postes, dégomme les récalcitrants les plus prestigieux (Gilles Kepel, Sylviane Agacinski) et canalise le fric public et privé bienpensant ? … (…) etc.(Question 49) … Terminons tout de même sur une note positive. La France que j’aime passionnément est celle des villages, des braves gens, des gentilshommes campagnards, des monuments aux morts de 14-18 si poignants chantés par Barrès. Elle a quelque chose de commun avec, sans du tout s’identifier à la célèbre et controversée définition qu’en avait donnée le général de Gaulle à Alain Peyrefitte : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » (…) etc.
La France est un petit coin d’Europe dans le vaste monde, représentant 0,4 % des terres immergées, 0,9 % de la population, et 3,4 % actuellement (en décroissance structurelle) de la production de la planète, rien du tout, mais beaucoup pour moi. C’est le Vexin, l’Île-de-France, la Normandie, la Loire, le Lot, la Provence, j’inclurais volontiers l’Alsace si elle n’était germanique et volée, tous joyaux créés par l’histoire qui parlent à mon cœur. C’est la France des terroirs détestée par Bernard-Henri Lévy, celle francilienne du château de la Roche-Guyon qui est le berceau de ma famille, de Villarceaux ou des grandes fermes du XVIIIe, celle normande des petits chemins
creux toujours humides du bocage normand et des bois et rhododendrons du bois du Breuil à Pennedepie, celle ligéro-angevine des gabarres dans le pli de la Loire au Thoureil ou des bois fréquentés par Raboliot, celle lotoise des vieilles demeures de pierre de Saint-Cirq-Lapopie et du château de Bonaguil, celle franco-française des gentilhommières de toutes les provinces, des fêtes votives et des bals populaires et du petit vin blanc qu’on boit sous les tonnelles. Si c’est ça la France, alors vive la France, des deux mains ! Et je n’oublie pas qu’elle a été faite par mes aïeux, tous 100 % Français de toujours. (…) etc.
EVENEMENTIEL – PRESSE
- TVLibertés / Têtes à clash
- RAdio Courtoisie 95,6 FM. / Interview de Pascal Lassalle 22/02/2025
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• TITRE : MON ÉPOQUE ET MOI SOMMES MARIÉS SANS AMOUR
• AUTEUR : JACQUES GEORGES
• LIVRE : 340 pages texte + 50 photos et illustrations, broché, format 160 x 240 mm
• Prix public : 25 €
• GENRE : TEMOIGNAGE, RECIT ESSAI
• RÉALISATION, ÉDITION, DIFFUSION : IBAcom
• ISBN : 979-10-92733-48-8
• PARUTION : 2025
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