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Isabelle de Bremond d’Ars

Une senior dynamique, dans la tranche des « sois-sans-temps », créateur d’IBAcom

Mon parcours ?

La langue française avant tout, avec des études de Lettres et, depuis toujours, un goût affirmé pour la lecture et la rédaction. Tout ceci m’a menée à exercer en entreprise puis en indépendant, en tant que responsable de communication visuelle et rédactionnelle. L’amour des livres et de la langue française ayant repris le dessus en même temps que l’âge… A l’issue de formations PAO et d’un cursus longue durée – passionnant – de Secrétariat d’édition à l’Ecole des Métiers de l’Information (EMI), je me suis lancée dans l’édition en free-lance depuis 2010.

Références / Communication par l’Image 

Reportages photo et traitement d’images  : Hermès – Lancel – Maxim’s Business Club – Scor – Atelier d’Esthétique Urbaine – Heritimage – Equus – Polo International – Polo Mag – Revues diverses : équitation, vènerie, golf, etc.

Références / Communication par l’Ecrit

Fédération des Industries Mécaniques – Associations Professionnelles – Echos – Hermès – Maxim’s Business Club – France Asie du Bâtiment – Golf Entreprises – Agefiph – Réseau des Boutiques de Gestion – Elsevier Masson – Associations privées – Publications diverses – etc.
Références Éditoriales : voir Livres parus

Isabelle de BREMOND d’ARS sur RADIO COURTOISIE  avec Maître TREMOLET de VILLERS et Maryvonne /  Libre Journal 19 octobre 2017 , sur le thème de « l’édition libre » : clic sur le lien  :   Interview Isabelle de BREMOND d’ARS IBACOM éditions

 À l’heure de l’Internet et des réseaux, éditer son livre peut se faire par d’autres biais que ceux d’une maison d’édition classique. C’est ce que propose IBAcom, éditeur et diffuseur de livres « sur mesure ». Cette structure éditoriale propose des solutions souples, efficaces et professionnelles pour mener à bien tout projet éditorial ; le déroulement du process éditorial est décrit aux pages Éditer et Diffuser.

Mais, auparavant, faisons donc un tour dans la jungle éditoriale pour mieux appréhender la difficulté à se faire éditer, de nos jours, par les voies classiques …

La jungle éditoriale

Avez vous déjà affronté la jungle éditoriale ? C’est le parcours du combattant. Le volume des publications papier ne cesse d’augmenter d’année en année, malgré la croissance de « l’édition numérique »(1). Ce défi, les maisons d’édition classiques ont du mal à le relever, tant la chaîne éditoriale est encombrée. Éditeurs, commerciaux, attachés de presse, commerciaux, journalistes, librairies, vendeurs : tous sont submergés par le volume des publications qu’il faut diffuser, vendre, toujours plus… Un livre, une fois « placé »(2) en librairie, atterrit généralement sur un de ses rayonnages, où il est rangé selon une nomenclature bien précise. Au mieux, il est placé quelques jours sur une des tables pour y être feuilleté… le seul endroit où l’on peut le découvrir en trois dimensions. Parfois, il reste dans son carton resté clos, entassé dans l’arrière-boutique et finit par être renvoyé tel quel au bout de quelque temps… Si le livre marche bien, tant mieux. Mais il faut savoir que sa durée de vie moyenne se réduit comme une peau de chagrin, une à deux semaines, parfois un peu plus… Quant aux invendus, ils sont renvoyés aux éditeurs qui doivent alors rembourser : ce sont les «retours»(3), la plaie à retardement des petites maisons d’édition dont le chiffre d’affaires peut alors fondre comme neige au soleil avant de disparaître.

Bien des maisons d’édition – dont beaucoup débauchent et externalisent leurs services – reçoivent tant de manuscrits que les couloirs en sont encombrés. La plupart d’entre eux sont lus par des stagiaires avant de franchir le cap d’un comité de lecture… Pour un auteur qui souhaite se faire connaître, l’envoi d’un premier manuscrit à plusieurs maisons d’édition relève du marathon, à commencer par sa présentation. Un calibrage (4) spécifique est exigé sans quoi il ne sera même pas lu… Il lui faut ensuite sélectionner les maisons d’édition susceptibles d’accepter son tapuscrit, ce qui présuppose un choix judicieux dès le départ : savoir à qui adresser telle biographie romancée ou tel essai politique, ou encore, tel recueil de poésie… tout ceci implique des recherches pour cibler la bonne maison. Il faut ensuite procéder à de multiples envois dont le poids finit par coûter bien cher en frais postaux. Puis il faut patienter… parfois longtemps, relancer, re-relancer… et s’attendre, au bout de plusieurs semaines dans le meilleur des cas, à recevoir une lettre de refus courtoise. Quant au précieux document, il faut aller le rechercher ou adresser une enveloppe timbrée pour le récupérer avant qu’il ne soit détruit… Bref, pour un auteur, c’est un challenge éprouvant et les chances de voir son tout premier manuscrit publié sont souvent ténues. Comme quoi, vouloir passer par la grande porte c’est découvrir qu’elle est… étroite

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(1) 75000 titres en 2014
(2) Les Diffuseurs se chargent, via leurs commerciaux, de vendre un titre à des librairies pour le compte d’une maison d’édition. Les Distributeurs gèrent la logistique : stockage, livraisons, facturation comptabilité.
Ces services représentent, pour un éditeur, environ  70% du prix de vente d’un livre.
(3) Retour des invendus : dans le système éditorial classique, les librairies commandent au diffuseur un total de X… exemplaires d’un titre, ce qui permet à l’éditeur, dès qu’il connait la quantité de pré-ventes, de décider d’un tirage et d’engranger le fruit des ventes dès livraison aux libraires. Quand, après quelques semaines, les invendus sont retournés à l’éditeur, celui-ci doit alors les rembourser aux librairies. Cela fait partie du risque du système de ce type d’édition qui fragilise nombre de petits éditeurs.
(4) Peu le savent mais cette présentation : 1500 signes et 25 lignes par page, le tout en recto, est exigée par la plupart des grandes maisons d’édition, soucieuses, en cas d’intérêt pour ledit manuscrit, de ne pas avoir à le recalibrer pour en estimer le coût de fabrication.

Une équipe éditoriale

Selon la complexité des tâches qui lui sont confiées, Isabelle de Bremond d’Ars sous-traite avec des spécialistes de l’édition.

Correction ortho typographique et correction littéraire :

  • Dorothée Koechlin de Bizemont, auteur de nombreux ouvrages chez Robert Laffont, Le Rocher… et dotée d’une belle expérience éditoriale dont 10 années à la rédaction de dictionnaires.
  • Claire Mallet, brillante responsable d’édition  free-lance, avec 20 ans d’expérience et plus de 200 livres à son actif  pour de prestigieuses maisons d’édition (Belles-Lettres, la BNF, Gallimard- La Pléiade, Hachette, Larousse, etc.)
  • ainsi que plusieurs éditrices chevronnées…

Traductions  :

  • Véronique Pinot de Villechenon, a  traduit avec talent et perspicacités, de l’espagnol, plusieurs  ouvrages de Carmen de Sayve pour Ibacom éditions, parus à ce jour.

Interviews  :

  • Véronique Pinot de Villechenon, qui a secondé avec talent et efficacité Rose d’Ormesson pour l’enregistrement et la rédaction de ses Mémoires « Souvenirs de Rose d’Ormesson autour de la table en pierre » publié par Ibacom (Souvenirs de Rose d’Ormesson )

 Lectures, spectacles littéraires et musicaux : 

  • Gérard Chambre, Chanteur, compositeur, comédien et metteur en scène, qui a bien voulu faire vivre quelques uns des textes publiés chez Ibacom, avec la créativité et l’humour qu’on lui connait…. ( Site de G. Chambre )

Graphisme –  Webdesign :

  • Laurie Prévot, Webdesigner – Webmaster, qui me permet de faire vivre ce site  wordpress avec un grand professionnalisme  www.cubbik.com

 Illustrations : 

  • Chantal de Crissey, peintre animalier et dessinatrice Hermès, a illustré plusieurs ouvrages, dont : Monde enchanté des animaux de Noé pour Ibacom.
    Elle a entre autres illustré les Lettres de Chasse  de Wilhem Dinesen alias Boganis, édition créée en collaboration avec Isabelle de Bremond d’Ars pour les éditions Michel de Maule en 2010. Chantal de Crissey est également l’auteur du Logo d’Ibacom ( La Licorne ).
    Visitez son site sous l’égide de son chien Dalmatien, Volt :  site de Chantal de Crissey

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